...des scènes barbares, odieuses et d’une rare violence physique, sexuelle et morale, intentionnellement et triomphalement filmées par la bande à Chouchou Ilunga, ont fait le tour du monde sur Facebook et autres réseaux sociaux
Le 04 juillet 2015, pendant 14 heures du temps, une jeune fille de 21 ans vivant à Ottawa, originaire de la RD Congo, a vécu le pire moment de tourments de sa vie pour cause d’un triangle amoureux dont Rachidy Mayi, un jeune homme de 26 ans, est la pièce centrale : Hélène, la jeune fille à peine dans la vingtaine, a été violentée et humiliée au plus haut degré par Eunice Ilunga, appelée communément Chouchou Ilunga, et sa bande, composée de quatre femmes quadragénaires, également d’origine africaine (RD Congo et République du Congo). Une première dans l’histoire du Canada, des scènes barbares, odieuses et d’une rare violence physique, sexuelle et morale, intentionnellement et triomphalement filmées par la bande à Chouchou Ilunga, ont fait le tour du monde sur Facebook et autres réseaux sociaux, à la totale indignation de la diaspora RDCongolaise d’Ottawa et de Montréal, du Canada et du reste du monde.
Selon des sources concordantes, Chouchou Ilunga et sa clique ne sont pas à leur premier forfait mais elles ont, cette fois-ci, franchi la ligne rouge pour répondre de leurs actes devant des juges.
Le 08 juillet 2015, Chouchou Ilunga, cerveau moteur du groupe, à la demande de sa sœur, a été conduite à la police d’Ottawa où elle a été immédiatement mise aux arrêts. 48 heures après, Milka Raul a rejoint Chouchou Ilunga en détention à la police. Lolango Lofita Lolo et Sandrine Kalema devraient également le faire, d’après une source officielle. De nombreuses plaintes et dénonciations à charge de ce groupe de malfaiteurs ont fusé de partout dont celle de la victime Hélène. D’après des avis judiciaires bien renseignés, ce groupe de malfaiteurs fait face à huit chefs d’accusations, dont séquestration, enlèvement et agression sexuelle. Il comparaîtra pour ces crimes et accusations le 16 juillet 2015, à Palais de justice d’Ottawa.
Cependant, il n’est donc pas exclu que la Loi C-24, portant sur le « retrait de la citoyenneté canadienne » soit d’application, au cas où une des accusées bénéficie des avantages et droits découlant de ce statut aussi exigeant en matière morale et civique
Au-delà de cette arrestation qui, suivie d’une condamnation à la lecture du code criminel du Canada, contribuerait à la fin du cycle d’agressions et d’intimidations dont Chouchou Ilunga et ses complices ont été auteures au Canada, il convient de se poser la question de savoir si une des telles personnes jouissait de la citoyenneté canadienne par naturalisation le méritera encore après sa prochaine condamnation? Du moment où l’on sait que le Canada est un pays de droit où les individus sont sensés connaître et respecter la loi. « Cent Tambours Mille Trompettes » n’étant pas acteur, ni opérateur et encore moins décideur dans le système judiciaire du Canada, il est certes vrai que la justice va décider des « sanctions appropriées et exemplaires » que cette bande de malfaiteurs mérite, au regard de ses forfaits. Cependant, il n’est donc pas exclu que la Loi C-24, portant sur le « retrait de la citoyenneté canadienne » soit d’application, au cas où une des accusées bénéficie des avantages et droits découlant de ce statut aussi exigent en matière morale et civique. En effet, le Canada n’a pas besoin des gens qui ignorent la loi, posent des actes immoraux, véhiculent publiquement des propos incendiaires et font la promotion des antivaleurs, à l’image de Chouchou Ilunga qui pourfend à travers les rues de Montréal et d’Ottawa, en commettant des forfaits à répétitions. C’est dommage qu’en plein 21ème siècle, en Amérique du Nord, au Canada, des individus isolés pensent qu’ils ont le droit de décider de la vie ou de la mort de leurs semblables. Tel est le cas de la bande à l'"impératrice" Chouchou Ilunga
C’est curieux de remarquer que l’instigatrice, commanditaire et metteur en scène de cet acte ignoble et ses coauteures soient signalées en amitié nourrie et entretenue sur le réseau social Facebook avec le président du Réseau de communication pour la prévention des actes criminels (RECOPAC), siégeant à Montréal
Par ailleurs, le genre de scandale que nous déplorons aujourd’hui ne pouvait peut-être pas arriver si la communauté congolaise de Montréal, où a trôné malencontreusement, sans crainte, sans reproche, sans blâme ni avertissement, depuis des années, l’actrice principale de ce scandale, était dirigée ou encadrée par un leader de hautes valeurs morales, visionnaire, digne et responsable. Aujourd’hui, de nombreuses langues sont enfin déliées pour indexer Chouchou Ilunga, qui prétendait tout haut être à la fois première dame congolaise de Montréal et d’Ottawa, comme instigatrice d’un cycle d’agressions et d’intimidations contre des personnes aimables et paisibles sous l’œil impuissant de ressortissants congolais censés œuvrer pour la prévention et la lutte contre les actes criminels. Populisme oblige! Triste réalité pour la deuxième communauté noire de Montréal.
C’est curieux de remarquer que l’instigatrice, commanditaire et metteur en scène de cet acte ignoble et ses coauteures soient signalées en amitié nourrie et entretenue sur le réseau social Facebook avec le président du Réseau de communication pour la prévention des actes criminels (RECOPAC) siégeant à Montréal. Y a-t-il lieu de faire prévaloir ici la maxime “Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es”, étant donné que l’actrice principale de ce scandale d’une rare horreur est reconnue comme instigatrice et auteure d’un cycle d’agressions et d’intimidations publiques sans reproche, sans blâme ni avertissement officiel depuis plus d’un lustre? Qu’est-ce que ce réseau avait entrepris concrètement comme mesure préventive face aux actes de violence répétitifs et aux nombreuses déclarations publiques, tapageuses et va-t-en-guerre de la princesse congolaise déchues de Montréal et d’Ottawa, avec Montréal comme fief de son autorité? Les jours qui viennent seront riches en révélations sur l’”Empire du mal” érigé, particulièrement à Montréal, par Chouchou Ilunga.
Hormis la prévention par le rejet public des actes de violence et d'intimidation, une seule revendication vis-à-vis de l'autorité judiciaire canadienne: JUSTICE POUR HÉLÈNE!
Aux dernières nouvelles, « Cent Tambours Mille Trompettes » vient d’apprendre le rejet catégorique - par la majorité des congolais de Montréal - de l’appel lancé dans la soirée du vendredi 10 juillet 2015 sur « Congo Mikili » par monsieur Jean Marie Mousenga recommandant, au nom de la famille de la victime, l’annulation de toutes les manifestations publiques prévues à Montréal par les Congolaises et Congolais de tous les âges choqués, attristés, humiliés et indignés par les actes d’une rare ignominie posés par Chouchou Ilunga et compagnie contre Hélène. Ainsi, avec la participation des dizaines de personnes, la manifestation pacifique prévue pour samedi 11 juillet 2015 a bel et bien eu lieu au centre-ville de Montréal, comme l’indique l’image ci-dessus. Hormis la prévention par le rejet public des actes de violence et d'intimidation, une seule revendication vis-à-vis de l'autorité judiciaire canadienne: JUSTICE POUR HÉLÈNE!
Par Zacharie Tsala Dimbuene et Claude Kazadi Lubatshi