« Le départ de la politique active, c’était ma participation à la conférence nationale souveraine. C’était le début. On ne savait pas trop là où s’allait nous amener…Moi je faisais partie du Front Uni de l’opposition, c’est-à-dire les alliés à l’Union Sacrée. Et c’était le camp le plus dur. Et dans ce camp le plus dur, on était qu’à deux femmes : après madame Sophie Kanza, c’était moi. J’ai dû même dirigé cette plate-forme pendant six mois »
Le bras de fer entre les militaires installés à Niamey et la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) continue. Les putschistes restent intransig...
Une question était sans réponse au Mali, il y a quelques semaines : État russe ou Wagner? «Pour les autorités politiques au Mali, il faudra choisir un camp» - « Cela ...
Le trafic de drogues continue de prospérer au Sahel grâce aux groupes armés non étatiques qui y sont très actifs, indique l’Office des Nations unies contre la drogue et l...