Le serviteur de Dieu concourt à la bonne santé spirituelle, aussi à la protection physique et à la prospérité du peuple
L'homme de Dieu assiste et inspire le monarque ou le politique pour une gestion avertie et éclairée de la république. Il accompagne spirituellement le politique à la crainte de Dieu et de son peuple. Ce dernier incarne sur terre la grandeur, l'existence, l'omniscience, l'omnipotence et l'omniprésence de Dieu. Le serviteur de Dieu concourt à la bonne santé spirituelle, aussi à la protection physique et à la prospérité du peuple.
Malheureusement, il est indiqué, au sein des services de l'État et les entreprises publiques congolais, une montée spectaculaire du regroupement familial, clanique ou tribal, amical ou fraternel par la pratique honteuse de l'injustice sociale, des abus du pouvoir politique, ancestral ou traditionnel, des abus des autorités de l’église ou pastorale également.
En vrais manipulateurs, ls ne manquent pas de monter et produire publiquement des « prophéties sans lendemain ». Mais, les naïfs les croient toujours sur parole!
Que des recommandations douteuses, subjectives, incompatibles et déstabilisatrices de l'État ou de l'entreprise commerciale congolaise: œuvres maléfiques des dirigeants politiques...mais également des assermentés et représentants terrestres de Dieu: archevêques, évêques, abbés, pasteurs, bishops, archibishops ont trempé dans des pratiques contre-républicaines pour se servir, servir sa famille, ses amis et connaissances, ses adeptes...tout en espérant toujours trouver un passage fluide vers le ciel pour un séjour éternel et paradisiaque. En vrais manipulateurs, ls ne manquent pas de monter et produire publiquement des « prophéties sans lendemain ». Mais, les naïfs les croient toujours sur parole!
L'église originale ne prévoient nulle part ce type d'acquisition matérielle dégageant publiquement l'odeur de la corruption, d'une part, et creusant davantage les sentiers de la misère et de la pauvreté du peuple
De la corruption de sainteté: depuis la deuxième république, des assermentés et représentants terrestres de Dieu ont reçu et acceptent encore des cadeaux de la part des gouvernants incapables d'assurer le minimum vital au peuple. Pourtant, élevés à des fonctions supérieures à l'église, leurs conditions de travail et de vie sont davantage améliorées à la lumière d'importants moyens financiers et matériels dont dispose l'église. Les statuts, la doctrine, l'organisation et le fonctionnement de l'église originale ne prévoient nulle part ce type d'acquisition matérielle dégageant publiquement l'odeur de la corruption, d'une part, et creusant davantage les sentiers de la misère et de la pauvreté du peuple, d'autre part.
Disons ensemble PLUS JAMAIS ÇA, À DÉFAUT DE RESTITUER PUBLIQUEMENT LES BIENS OU AVOIRS ENCAISSÉS
Que de véhicules tous neufs de marques Mercedes Benz, Mitsubishi Pajero, Toyota Prado et lourdes enveloppes en devises et en monnaie nationale remis aux assermentés et représentants du Très Haut par des pouvoirs politiques dépouillant, avilissant, appauvrissant et terrorisant le peuple congolais. Ils sont nombreux les assermentés et représentants de Dieu, reconnaissant le gâchis en RD Congo depuis plus de 63 ans d’indépendance, à avoir accepté ces types de cadeaux publiquement. Disons ensemble PLUS JAMAIS ÇA, À DÉFAUT DE RESTITUER PUBLIQUEMENT LES BIENS OU AVOIRS ENCAISSÉS. Tant qu'il n'y aura pas de changement de mentalités en matière de sources de signalés services, d'accumulation des biens et des avoirs individuels au sein des communautés des assermentés ou représentants de Dieu sur terre en RD Congo, il n'y aura aucune possibilité de changement de mentalités au sein des gouvernants, leurs collaborateurs, ayants droits et autres privilégiés du régime. Et le peuple continuera à payer lourdement les frais de la corruption, des détournements et gaspillages dans le trésor public.
Pourquoi ne pas SE SOUVENIR DU "NON, MERCI" de Jean Paul SARTRE, qui, en 1964, déclina même le Prix Nobel de littérature
L'église, sous toutes ses formes et doctrines, doit donner des signaux forts dans la lutte contre toute forme de corruption contre-républicaine, directe ou indirecte, visible ou invisible. Pourquoi ne pas SE SOUVENIR DU "NON, MERCI" de Jean Paul SARTRE, qui, en 1964, déclina même le Prix Nobel de littérature, simplement pour rester fidèle à ses options philosophiques et convictions spirituelles. Pourtant, un Prix Nobel est à la fois symbole d'un grand honneur au plan mondial et d'une récompense financière en lourdes couronnes suédoises!