La COMINIERE avait curieusement et mystérieusement recouru aux services de Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa, alors responsable du bureau du conseiller spécial du président Félix Tshisekedi en matière de sécurité, Monsieur Jean-Claude Bukasa, d’une part, et responsable de la société de lobbyisme Focus Plaidoirie, créée en 2020., d’autre part
À travers ses contacts d’affaires pour établissement de partenariat, extension de l’exploitation et accroissement de ses revenus, la COMINIERE avait curieusement et mystérieusement recouru aux services de Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa, alors responsable du bureau du conseiller spécial du président Félix Tshisekedi en matière de sécurité, Monsieur Jean-Claude Bukasa, d’une part, et responsable de la société de lobbyisme Focus Plaidoirie, créée en 2020., d’autre part.
Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa avait empoché, au titre de commission et honoraires, 1,672 million représentant 5% de $US 33, 440 millions du produit de la vente des 15% des parts sociales de la COMINIÈRE dans DATHCOM
Sous le fallacieux prétexte d’avoir « présenté » le groupe Chinois ZIJIN à la COMINIERE et à l’État Congolais à travers les ministères des Mines et du Portefeuille, du moment où tous les acteurs précités étaient déjà en contact avec le staff dirigeant de ZIJIN dans d’autres projets, Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa avait empoché, au titre de commission et honoraires, 1,672 million représentant 5% de $US 33, 440 millions du produit de la vente des 15% des parts sociales de la COMINIÈRE dans DATHCOM.
À la lumière de ce qui précède, compte tenu des fonctions officielles exercées par Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa au moment de ces transactions ou opérations de bradage des biens collectifs et de son incompétence en matières minières, au regard de son curriculum vitae très limité (sans titre scolaire précis), il se dégage incontestablement de graves manquements aux pratiques des affaires publiques, notamment le conflit d’intérêt, le trafic d’influence, l’abus de fonction, la violation intentionnelle des standards universels en matière de lobbyisme en RD Congo, en Afrique et à travers le monde ainsi que le piétinement des règles de transparence dans les transactions/opérations ayant trait aux affaires minières, notamment les dispositions légales sur les mesures de transparence dans le secteur extractif.
Le Canada, les États-Unis d’Amérique ainsi que les pays membres de l’Union africaine et l’Union européenne, sans oublier l’organisation non gouvernementale « Transparency international » doivent coopérer davantage pour identifier, indexer et sanctionner des affameurs des populations pauvres et misérables, les corrupteurs et les corrompus
En effet, le fait d’empocher illégalement, indûment, sans titre ni qualité les $US 1,672 million, Madame Lisette Kabanga Tshibwabwa est condamnable pour malversation financière et est potentiellement accusable de blanchiment des capitaux.
Souscrivant à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), à la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et l’éthique dans les affaires publiques, le Canada, les États-Unis d’Amérique ainsi que les pays membres de l’Union africaine et l’Union européenne, sans oublier l’organisation non gouvernementale « Transparency international » doivent coopérer davantage pour identifier, indexer et sanctionner des affameurs des populations pauvres et misérables, les corrupteurs et les corrompus.
Les organisations de la société civile de la RD Congo et du reste du monde se chargeront de porter tous les cas de corruption et de malversation financière aux instances internationales pour des sanctions à la mesure des abus et infractions commis
En définitive, au cas où l’inspection générale des finances de la RD Congo éprouvent des difficultés à indexer clairement une telle délinquance pour une action judiciaire appropriée, les organisations de la société civile de la RD Congo et du reste du monde se chargeront de porter tous les cas de corruption et de malversation financière aux instances internationales pour des sanctions à la mesure des abus et infractions commis.