Félix-Antoine Tshilombo s’est distingué publiquement par des antivaleurs (injures publiques vis-à-vis de ses compatriotes) et des activités contre-productives ou de sabotage de l’économie nationale
Pour faux et usage de faux et crimes économiques, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ne peut porter le titre de docteur honoris causa en RD Congo et à l’étranger. Du simple fait que cette distinction honorifique est la plus haute qui est accordée par une université pour reconnaître la compétence et l'excellence de personnalités nationales ou internationales dans les principaux domaines de l'activité humaine : scientifique ou littéraire, culturel ou social, politique ou économique.
Or, globalement, Félix-Antoine Tshilombo s’est distingué publiquement par des antivaleurs (injures publiques vis-à-vis de ses compatriotes) et des activités contre-productives ou de sabotage de l’économie nationale : explosion de la dette publique jusqu’à 10 milliards de dollars américains en moins de 4 ans, escroquerie à l’échelle nationale en plongeant ses doigts dans les poches de ses compatriotes pour leur soutirer de l’argent par le RAM (registre des appareils mobiles), dépassement budgétaire, dilapidation et détournement des deniers publics à répétition, exécution des travaux publics sur fond des « retro-commission et coopération », caporalisation et privatisation de la justice à l’exemple des dossiers 100 jours, accord des libertés provisoires aux réels criminels économiques et classement sans motif des dossiers judiciaires à sa demande expresse, maltraitance et traumatisme publics de la femme (cas de Madame Mpela) et les enfants (fils Tshisekedi) par des services sous autorité du récipiendaire du titre, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, perte dramatique du pouvoir d’achat par la population, augmentation du taux de chômage, notamment des jeunes, intensification de la misère et de la pauvreté. Par ailleurs, environ 30 millions de congolais sont confrontés à l’insécurité alimentaire et souffrent de la faim chronique. Invisibilité, illisibilité et précarité de l’avenir : tous les Congolais sont réellement des cas sociaux dont lui-même le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, malgré ses apparences d’un adolescent insouciant. Visiblement, le jury ad hoc ou le comité scientifique chargé d’évaluer le récipiendaire Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo n’a pas été objectif, rigoureux et sérieux dans sa démarche scientifique, son enquëte sociopolitique et son argumentaire présenté lors de la séance académique. Les professeurs Ntumba Luaba (président du jury), Kazumba Kanda Tshiteya (secrétaire du jury), Jacques Ndjoli Eseng’Ekeli (membre effectif), Tazi Kizey (membre effectif), Langwana (membre effectif) et Atshwel (effectif), sans oublier les deux membres suppléants ont manqué l'occasion de prouver leur degré d'éminence vis-à-vis du public national et international. Ils ont bradé leur conscience et leur honneur face à un faussaire attesté en matière académique, scientifique. et sociopolitique.
Une mesure d’indexation et de blacklistage internationale de l’intelligentsia congolaise sera prononcée et appliquée à travers le monde contre le membre du comité de gestion dont le professeur Jean-Marie Kayembe Ntumba, recteur de l’Université de Kinshasa, et le jury ad hoc ayant ensemble initié, motivé et octroyé, après évaluation, ce titre honorifique
En vue de la réparation de cette abomination académique, scientifique et sociopolitique, une mesure d’indexation et de blacklistage internationale de l’intelligentsia congolaise sera prononcée et appliquée à travers le monde contre le membre du comité de gestion dont le professeur Jean-Marie Kayembe Ntumba, recteur de l’Université de Kinshasa, et le jury ad hoc ayant ensemble initié, motivé et octroyé, après évaluation, ce titre honorifique à l’immoral et au prédateur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Dans le même registre, après le départ du pouvoir de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, une des premières missions du futur comité de gestion et du conseil de l’Université de Kinshasa sera d’organiser une cérémonie purificatoire au cours de laquelle le titre de docteur honoris causa sera purement et simplement retiré à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour complaisance de la part du jury ad hoc ou le comité scientifique et d’organisation, d’abord, et pour mauvaise gouvernance, caporalisation et privatisation de la justice, prédation et insécurité grandissante des personnes et leurs biens, violation flagrante des droits de la femme et de l’enfant en charge de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, ensuite.
Effectivement, ce titre érode davantage l’image, l’honneur, la dignité, le prestige et la marque d’excellence de l’Université de Kinshasa. C’est la mort morale de Monseigneur Luc Gillon, disparu physiquement en 1998
En conclusion, comme d’habitude, en mode « coopération ou retro-commission », Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a acheté le titre de docteur honoris causa auprès d’un groupe de professeurs affamés, flatteurs, fanatiques corrompus et sans conscience. Rabelais disait avec raison que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Après avoir souillé l’UDPS, le temple de démocratie fondée par son père, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat indépendant à sa propre succession, vient de souiller le temple de l’intelligentsia congolaise en complicité avec ce groupe de professeurs propagandistes et manipulateurs visant les enjeux électoraux, notamment concourir pour un second mandat en faveur de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Effectivement, ce titre érode davantage l’image, l’honneur, la dignité, le prestige et la marque d’excellence de l’Université de Kinshasa. C’est la mort morale de Monseigneur Luc Gillon, disparu physiquement en 1998. Le regretté est auteur de l'ouvrage "Servir: en actes et en vérité" .
