L’heure a plus que sonné pour un changement radical de la classe politique, du système de gouvernance et du paradigme de connexion de la RD Congo au reste du monde
Au regard de la crise socio-économique sans précédent et de la gestion catastrophique ou hasardeuse des affaires publiques sous la présidence de l’UDPS/Tshisekedi, le plus vieux parti politique de l’opposition en RD Congo, en alliance avec certains Mobutistes ou Kabilistes et soutenue constamment par des « soi-disant » leaders spirituels dont des chefs de confessions religieuses, des membres du clergé et des pasteurs égoïstes, l’heure a plus que sonné pour un changement radical de la classe politique, du système de gouvernance et du paradigme de connexion de la RD Congo au reste du monde. La classe politique congolaise est aujourd’hui constituée d’immoraux gestionnaires, des prédateurs sans cœur, des jouisseurs professionnels, des fils à papa profiteurs, des prestidigitateurs éhontés, des démagogues sans éthique et des « faux bourgeois », dégageant excessivement l’odeur de la misère et de la pauvreté à travers les rues, les sentiers et les places publiques de la RD Congo.
Il s’agit, en effet, du regroupement des victimes de la prédation, de la mauvaise gouvernance, de l’injustice sociale, des violations massives des droits de l’Homme, des crimes économiques et de guerre pour une cause commune
Une de principales voies de sortie de cette crise à la fois économique, sociale, morale et, surtout, mentale, c’est le lancement et le triomphe du Mouvement pour le choix du changement (M2C) sous le leadership averti du camarade Alain Bolodjwa (AB) lors des élections présidentielle et législatives nationales de 2023. Il s’agit, en effet, du regroupement des victimes de la prédation, de la mauvaise gouvernance, de l’injustice sociale, des violations massives des droits de l’Homme, des crimes économiques et de guerre pour une cause commune : la reprise effective du pouvoir d’État par et pour le peuple congolais.
Grand dossier à suivre…