Un constat majeur et traumatisant est aujourd’hui tiré de la gestion des affaires publiques en République démocratique du Congo (RD Congo) : paraphrasant Félix Tshisekedi, la pauvreté et la misère accablent et rongent encore les populations congolaises
De l’Hôtel Warwick de Genève, le 9 novembre 2018 à la Cité de l’Union africaine à Kinshasa, le 23 octobre 2020, en passant par Hôtel Séréna de Nairobi, le 23 novembre 2018, beaucoup d’eau a visiblement coulé sous les ponts. Malheureusement, un constat majeur et traumatisant est aujourd’hui tiré de la gestion des affaires publiques en République démocratique du Congo (RD Congo) : paraphrasant Félix Tshisekedi, la pauvreté et la misère accablent et rongent encore les populations congolaises. Cela est dû aux stratégies de survie politiques et de positionnement individuel, l’égoïsme, à la cupidité, à la mauvaise foi, au manque de sincérité et au contreproductif jeu de cache-cache entretenu en majorité par les acteurs du FCC. Malheureusement, la responsabilité incombe publiquement et socialement au magistrat suprême, Félix Tshisekedi.
Reconnaissant le peuple congolais comme son premier et naturel allié et rappelant la persistance de profondes dissonances ou divergences de vues et de méthodes de gestion au sein de la coalition CACH-FCC, le président Félix Tshisekedi a, en effet, décidé de mettre fin, en deux temps, à cette alliance contre-productive
Vendredi 23 octobre dernier, reconnaissant le peuple congolais comme son premier et naturel allié et rappelant la persistance de profondes dissonances ou divergences de vues et de méthodes de gestion au sein de la coalition CACH-FCC, le président Félix Tshisekedi a, en effet, décidé de mettre fin, en deux temps, à cette alliance contre-productive: (1) annonce des consultations nationales, d’abord, et (2) requiem pour la coalition CACH-FCC, ensuite.
Il est autorisé de croire que les consultations nationales annoncées par le président Félix Tshisekedi ne constituent pas une suite ou un remix de la rencontre de Genève
Au stade actuel, il est autorisé de croire que les consultations nationales annoncées par le président Félix Tshisekedi ne constituent pas une suite ou un remix de la rencontre de Genève. Dans la mesure où ladite rencontre regroupait majoritairement des acteurs responsables de la crise aigue et multiforme qui, depuis plus d'une décennie, avilit, appauvrit et rend davantage misérables et vulnérables d’aimables populations congolaises.
Il est, en effet, mieux indiquer que le président Félix Tshisekedi consulte, au sein de la classe politique et de la société civile, en RD Congo et à l’étranger, des intelligences ou forces nouvelles et irréprochables, des personnes véritablement acquises au changement
Ainsi dit, organiser des consultations nationales qui visent réellement et véritablement le changement démocratique par l’amélioration les conditions de vie et d’existence des populations congolaises suppose la rupture avec l’ordre actuel encore sous contrôle des criminels économiques et de guerre opérant contre les intérêts du peuple. Car, il est incontestablement question de mettre définitivement un terme à la phase de destruction du pays et de retrousser à l’unisson les manches pour le travail, le développement rapide et durable. Il est, en effet, mieux indiquer que le président Félix Tshisekedi consulte, au sein de la classe politique et de la société civile, en RD Congo et à l’étranger, des intelligences ou forces nouvelles et irréprochables, des personnes véritablement acquises au changement, afin d’éradiquer effectivement la prédation et rétablir pleinement les valeurs éthiques dans la gestion des affaires publiques.