À Montréal où une jeune femme, à la suite d’abus sexuels à répétition, a été engrossée par son pasteur puis excommuniée de l’église par l’épouse de celui-ci avec la complicité de son entourage et certains fidèles... Une véritable association de malfaiteurs à démanteler par la justice au Québec et au Canada
Le 25 juin dernier, après une délibération de quatre jours entre 11 jurés, Paul Mukendi, Apôtre de l’Église Parole de vie à Vanier, a été reconnu coupable sur toute la ligne des neuf chefs d’accusation d’agressions sexuelles, voies de fait armées et menace de mort qui pesaient contre lui, à la suite de la plainte d’une membre de son église.
Parmi les femmes qui disent avoir été sous le joug de l’accusé, une employée de l’église Parole de Vie a affirmé avoir eu plusieurs relations sexuelles avec le révérend, ce qui a même mené à un avortement en 2005. Une fois la seconde femme de Mukendi arrivée au pays, l’employée a été rejetée par l’accusé et a quitté l’église.
Une amie de la victime est aussi venue raconter que le pasteur partait avec différentes filles, dont la victime, vers sa chambre à coucher ou son bureau, d’où elles ressortaient « décoiffées ».
Dans le même registre « Cent Tambours Mille Trompettes » souligne que Paul Mukendi n’est pas le seul pasteur expert dans les abus sexuels. La liste serait longue, dans les églises de communautés noires du Québec, notamment à Montréal où une jeune femme, à la suite d’abus sexuels à répétition, a été engrossé par son pasteur puis excommuniée de l’église par l’épouse de celui-ci avec la complicité de son entourage et autres...Toute une association des malfaiteurs à démanteler.
Il s’agit de la situation d’une jeune femme embrigadée pendant des années par un "demi-dieu", un pasteur "multifonctionnel", un vrai abuseur sexuel masqué sous une épaisse couche d’humeur quelque peu mélancolique sur la place publique et aux allures hautement ecclésiastiques sur la chaire
À lire prochaine, l’histoire d’un demi-dieu aux petits souliers, parachuté dans la vie pastorale en mode « business-gras », jouant, de concert avec sa femme, aux prestidigitations de guérison miracle et offrant des enseignements bibliques aux rabais ou de façon indigeste…. dans un français approximatif : aux bons goûts et à la bonne digestion des gamins spirituels. Bref, il s’agit de la situation d’une jeune femme embrigadée pendant des années par un "demi-dieu", un pasteur "multifonctionnel", un vrai abuseur sexuel masqué sous une épaisse couche d’humeur quelque peu mélancolique sur la place publique et aux allures hautement ecclésiastiques sur la chaire: tout un appât pour sûrement cibler, obtenir, conserver et consommer à sa guise d’innombrables proies, sans manquer de commettre des crimes insoupçonnables. À suivre...