Une lecture rapide du droit criminel au Québec et au Canada indique entre autres que ces manifestants égarés ont mené une action indécente et ont troublé de manière délibérée la paix sans manquer de causer un cas de blessure par morsure humaine et volontaire
Pendant que la 31ème édition de la CAN/Gabon 2017 débutait, ce samedi 14 janvier 2017, en présence de toutes les équipes nationales et leurs délégations officielles au stade de l’Amitié de Libreville, une dizaine de gabonais déboussolés ont appelé au boycott de cette compétition et fête internationale africaine à Montréal, en foulant aux pieds de façon flagrante les règles élémentaires de bienséance universellement reconnues, la Déclaration universelle des droits de l’Homme, la Charte africaine des droits de l’Homme et des Peuples, ainsi que les lois du Québec et du Canada, notamment sur le droit privé.
Une lecture rapide du droit criminel au Québec et au Canada indique entre autres que ces manifestants égarés ont mené une action indécente et ont troublé de manière délibérée la paix sans manquer de causer un cas de blessure par morsure humaine et volontaire
PROMONT-CAN: un projet essentiellement socioculturel visant le raffermissement de la solidarité et des liens d’amitié et de fraternité entre les peuples africains par l’ambiance sportive et le fair-play.
Il convient de souligner que le programme Montréal de la Coupe d’Afrique des Nations (PROMONT-CAN/GABON 2017) initié par « Cent Tambours Mille Trompettes s.a.r.f. » et organisé à l’Espace Mushagalusa en plein centre-ville de Montréal, est un projet essentiellement socioculturel visant le raffermissement de la solidarité et des liens d’amitié et de fraternité entre les peuples africains par l’ambiance sportive et le fair-play.
Une équipe de policiers hautement qualifiés poursuit systématiquement l’enquête à la suite de laquelle irrévocablement les accusés répondront de leurs actes devant la loi
Le service de police de Montréal, qui était intervenue pour mettre hors état de nuire ces semeurs de trouble et apporter les premiers soins aux éventuelles victimes, dispose de toutes les pièces à conviction (photo, vidéo et traces de la violence) mise à sa disposition par le public présent au lieu pour approfondissement de l’enquête sur cet incident. Par ailleurs, toujours contre ce groupe de gabonais, des plaintes ont été déposés sur place, en bonne et due forme, à la police. Une équipe de policiers hautement qualifiés poursuit systématiquement l’enquête à la suite de laquelle irrévocablement les accusés répondront de leurs actes devant la loi.
Il est de notoriété publique que la vraie élite gabonaise politique ou apolitique n’a jamais été une machine ou une boîte aux injures
Une lecture rapide du droit criminel du Québec et du Canada indique entre autres que ce groupe de manifestants égarés a mené une action indécente et a délibérément troublé la paix sans manquer de causer un cas de blessure volontaire par morsure humaine. C’est vraiment déplorable que cette frange de gabonais agisse également avec une grande expertise en import-export des injures et en propagation de fausses informations à charge des organisateurs de l’évènement. Mais, il est de notoriété publique que la vraie élite gabonaise politique ou apolitique n’a jamais été une machine ou une boîte aux injures.
Affaire à suivre…