...une seconde perdue dans le processus de sortie de la station de métro peut facilement faire rater l’autobus de correspondance et se transformer à plus de 30 minutes d’attente d’un prochain autobus. Des fois dans le plus grand froid !
Dans le réseau de la STM, la perte d’une seule seconde peut être fatale ou catastrophique pour le reste de la journée et compromettre d’incommensurables efforts investis depuis des minutes, des heures, des jours, des semaines, des mois, des années et des décennies par un passager : une seconde perdue dans le processus de sortie de la station de métro peut facilement faire rater l’autobus de correspondance et se transformer à plus de 30 minutes d’attente d’un prochain autobus. Des fois dans le plus grand froid ! Évidemment, un retard ou une perte d’intérêt à une activité en découle.
Sous l’impulsion de son Maire Denis Coderre, la ville de Montréal se veut aujourd’hui davantage intelligente et numérique
Chaque seconde étant déterminante et décisive pour la vie, surtout dans une ville comme Montréal où les signes du leadership en matière de développement se manifestent et se succèdent à une vitesse astronomique.
Sous l’impulsion de son maire Denis Coderre, la ville de Montréal se veut aujourd’hui davantage intelligente et numérique. C’est dans cette optique que, conformément à la vision, à la mission et aux objectifs de « CENT TAMBOURS MILLE TROMPETTES s.a.r.f. » que monsieur Claude Kazadi Lubatshi a initié et conçu le GPEX (Guide pour Passagers circulant en Express) dans le réseau de métro de la STM (Société de transports de Montréal). Le GPEX dévoile aux millions de montréalais et montréalaises un précieux secret mariant les voitures du métro (le matériel roulant), d’une part, et la vaste infrastructure ou la voie ferrée et les stations métro de la Société de Transport de Montréal (STM), d’autre part. Une nouveauté qui vaut tout son pesant d’or.
Qu’est-ce que le GPEX ?
Le GPEX est un document en versions imprimée et électronique qui présente le réseau du métro STM en indiquant les liens entre les voitures d’une ligne de métro et les voies de sortie ou de correspondance (escaliers et ascenseurs) reliant les lignes au niveau d’une station de métro.
En effet, le GPEX permet aux passagers du Métro d’occuper, à la première occasion (au point de départ) ou progressivement (en sautant d’une voiture à l’autre au cours du parcours), la voiture – et sa porte aussi- d’une ligne de métro correspondant précisément au point de sortie à destination ou au point de changement rapide de la ligne du métro souhaitée.
L’objectif poursuivi étant l’économie du temps ainsi que la réduction des stress et de l’effervescence des nerfs en faveur des passagers, véritables agents de développement de la ville de Montréal, de la province du Québec et de l’ensemble de Canada.
Le GPEX servira à des centaines de milliers de montréalais et aux visiteurs de Montréal fonctionnant tous en véritables agents de développement et, particulièrement, en usagers avertis du temps, de sa plus petite unité à sa plus longue échelle de grandeur
« CENT TAMBOURS MILLE TROMPETTES s.a.r.f », avec le soutien de quelques partenaires et communautés installées à Montréal, diffuseront le GPEX de l’ensemble du réseau de métro de la STM (lignes verte, orange, bleue et Jaune) par voie d’internet, par le site www.ctmt.ca et autres, d’une part, et sur supports imprimés.
Par cette idée innovante, proposée au Bureau de ville intelligente et numérique de Montréal, la jeune entreprise « CENT TAMBOURS MILLE TROMPETTES s.a.r.f. » veut contribuer à l’accroissement de la visibilité organisationnelle et à la crédibilité de la ville de Montréal à laquelle le maire Denis Coderre a assigné la vocation de devenir un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, une place mondiale incontestable en idées novatrices en matière de développement collectif.
Public cible
Le GPEX servira à des centaines de milliers de montréalais et aux visiteurs de Montréal fonctionnant tous en véritables agents de développement et, particulièrement, en usagers avertis du temps, de sa plus petite unité à sa plus longue échelle de grandeur.
- Visiteurs et touristes;
- Nouveaux passagers scolarisés ou employés;
- Passagers habituels face aux nouveaux défis d’économie et de développement durable par le bon usage du temps : par jour, une seule seconde gagnée par un employé montréalais ou un étudiant montréalais est un pas marquant d’épanouissement collectif;
- Travailleurs ou Étudiants ou encore Élèves habitués à prendre des voitures correspondant à leurs voies de passages ou de sorties, auront aussi besoin du GPEX en cas de changement de lieu de travail ou de scolarité ou pour une exigence autre l’exigence professionnelle.
Réponses face à l’avis de la Société de Transport de Montréal (STM)
Contrairement à la crainte de la STM, exprimée par madame Martine Ouellet, cheffe de division information et communications électroniques, de voir certaines voitures de métro envahies par des passagers perdre le confort voulu et compromettre également la fluidité du trafic, monsieur Claude KAZADI LUBATSHI et « CENT TAMBOURS MILLE TROMPETTES s.a.r.f. » estiment et confirment que le GPEX est à la fois une astuce et un outil qui accélérait l’évacuation des voitures et du trafic ferroviaire métropolitain. Un support de communication réellement utile pour la population de Montréal.
À l’exemple de la ligne verte, il ne peut donc avoir dénaturation du confort des voitures et entrave à la fluidité du trafic pour les motifs suivants :
- Toutes les neuf voitures du métro ont chacune au moins un lien avec une voie de sortie ou de changement de correspondance (escalier, escalator ou couloir) au niveau d’une station de métro;
- Tous les passagers n’embarquent pas et ne débarquent pas aux mêmes stations : il y a moins de passagers qui voyagent de la station Angrignon (terminus 1) vers la station Honoré-Beaugrand (terminus2); il y a des passagers qui montent au terminus 1 pour descendre à mi-chemin, comme il y a des passagers qui montent à mi-chemin pour descendre à mi-chemin ou au terminus 2;
- Pour des stations à grandes affluences telles que Berri-Uqam, Lionel-Groulx, Jean-Talon et Snow-Down, (qui sont à la fois des points de sortie de métro et de correspondance), 3 à 4 voitures de chaque ligne de métro communiquent directement et concomitamment avec les voies de sortie de métro ou de correspondance ou changement de ligne de métro;
- Ce n’est pas tous les usagers du métro qui circuleront en EXPRESS : c’est seulement une partie de passagers dont principalement les travailleurs, élèves ou étudiants qui auront le plus besoin d’utiliser le GPEX;
- Par le principe d’autorégulation, les passagers du métro détenteurs du GPEX et intègres, d’habitude, sauront bien se comporter, lorsque la voiture ou les voitures les plus favorables sont complètement occupées ou pleines
Par ailleurs, il convient de souligner que, comme partout à travers les grandes villes du monde, le métro de Montréal a ses heures de pointe durant lesquelles la plupart de voitures de métro sont pleines pour toutes les lignes. Cela ne remet pas en doute la politique de confort de la STM qui a toujours mis à la disposition des usagers du métro des infrastructures et des équipements de voitures soignés et de meilleure qualité.
Somme toute, le GPEX est loin de dénaturer la politique de confort et de compromettre la fluidité du trafic dans le réseau du métro de Montréal. Bien au contraire, le GPEX est incontestablement une astuce, une formule et un outil largement positif en vue de favoriser l’économie du temps par les usagers du métro et de concourir réellement au développement et au rayonnement durables de Montréal, en tant que leader mondial des villes intelligentes et numériques.
L’assemblée générale du conseil d’administration de la STM du 3 décembre prochain sera une occasion pour assurer le public du caractère utilitaire et constructif du GPEX en plein contexte de développement rapide et durable par l’économie microscopique et macroscopique du temps. La STM étant une entreprise respectueuse de valeurs démocratiques.
