La Francophonie dont fait partie le Québec favorise l’émergence des langues nationales partenaires (africaines, américaines, asiatiques et européennes) de la langue francaise. Celle-ci ayant le statut de langue officielle depuis le 31 juillet 1974 au Québec.
Du point de vue linguistique, le Québec est actuellement régi par la charte de la langue francaise adoptée à l’Assemblée nationale du Québec le 26 août 1977
Cependant, beaucoup d’abus d’ordre linguistique sont observés dans la communication courante en milieux du travail : il s’agit particulièrement de l’usage des langues non conventionnelles (langues nationales et dialectes étrangers) par les travailleurs immigrants pendant les heures de travail. Ainsi, compte tenu de l’importance de l’immigration au Québec, des centaines des langues sont ainsi pratiquées pour des motifs généralement d’exclusion et de discrimination.
Au regard de ce qui précède, bilinguisme Français-Anglais mis à part, nous affirmons haut et fort ce qui suit :
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Distraire ses collègues non utilisateurs de cette langue partenaire;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Brouiller la collaboration avec ses collègues non utilisateurs de cette langue;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Installer le climat de haute méfiance parmi ses collègues non utilisateurs de cette langue partenaire;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Polluer plus que dangereusement l’environnement de travail;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Ralentir la production de l’entreprise, engendrer la sous-production et entamer l’économie du Québec et du Canada
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Saboter les intérêts et l’honneur de son employeur;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Défier les institutions officielles du Québec qui, depuis le 31 juillet 1974, - voici 40 ans- grâce au gouvernement québécois dirigé par le premier ministre Robert Bourassa, reconnaissent au français le statut de langue officielle du Québec et de patrimoine national que l’État québécois a le devoir de préserver;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Cracher copieusement sur l’identité et la volonté solennellement exprimées par les Québécois et Québécoises depuis le 26 août 1977 par l’adoption de la Charte de la langue francaise à l’Assemblée nationale du Québec;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Défier et marcher sur tous les Québécoises et Québécois porteurs, utilisateurs, défenseurs et promoteurs inconditionnels de la langue francaise;
- S’exprimer en une langue partenaire de la langue francaise pendant les heures de travail au Québec = Infraction et violation de l’article 1er de la Charte de la langue francaise. Ce qui entraine évidemment des sanctions et amendes
PAR CONTRE,
- S’exprimer en langue française, c’est contribuer au maintien en état, à la protection, au prestige et à la promotion de celle-ci et de son instance internationale qu’est la Francophonie
PAR CONSÉQUENT,
- Aucune langue partenaire ne peut se substituer à la langue francaise aux heures de travail au Québec
Initiée par « CENT TAMBOURS MILLE TROMPETTES s.a.r.f. », cette campagne est une action spontanée venant en appui au Gouvernement du Québec, particulièrement au Ministère du Travail, au Ministère de la Culture et des Communications et de la protection et de la promotion de la langue française ainsi qu’à celui de l'Immigration, de la Diversité et de l'inclusion dirigés respectivement par Philippe Couillard, Sam Hamad, Hélène David et Kathleen Weil.